une catastrophe ou un nouvel ami?[Lyz,Jiro,Laïla]

En retard! Encoore!!!!! Décidemment, ça devenait une salle habitude. Pas ma faute, la rencontre avec mes camarades poudlardiens dans le culoirs était forte intéressante. Et amusante. pour une fois qu'une bonne journée semblait se profiler depuis mon entré au château. Je souris bêtement, puis me giffla mentalement, me forçant à me concentrer sur ma course. J'arrivais au rendez vous avec à peine 5 minutes de retard. Ceci étant pour moi une fierté: rare était les fois où j'arrivais a l'heure! Alors avec 5 minutes de retard! Je me souvient qu'une fois, j'avais fait Mitch, le pauvre m'avait attendu presque une heure avant de me voir! Je secouais la tête, me sortant de mes pensés et me concentrais sur Lyzabeth qui me faisait face. Plus par habitude qu'autre chose, je glissais un main dans mes cheveux désordonnés en m'inclinant légèrement. Je vis Laïla froncer les sourcils, semblant ravaler une remarque acide. Trés acide vu sa tête...m'enfin, j'ouvrais déjà la bouche pour m'excuser, mais Lyzabeth m'arrêta:

-Pas maintenant, viens, on y va...
J'hôchais la tête, et les suivis à travers le parc. Elles me guidèrent vers une digence non attelée. Je levais un sourcil à cette constation, mais ne dis rien. Elles savaient mieux que moi. Nous nous instalâmes à l'intérieur qui sentait un curieux mélange de vieille paille et de cuir. Pas trés agréable celà dit. La diligence démarra presque ausitôt. Lyzabeth lança la conversation en m'interrogeant sur mon retard. Je souris et répondis:

-Peu aprés que nous nous soyons quittés, j'ai rencontré quelqu'un dans un couloirs. Tu le connais, il s'appel Kobayashi Jun. Nous avons un peu discutté, puis Sakura, une fille de ma maison c'est jointe à nous, alors on à pas mal discuté, d'où mon retard...

J'étais quand même curieux de savoir comment les diligences avançaient. Je voulus jetter un coup d'oeuil dehord, mais je ne vis pas grand chose.

Poireauter. Attendre. Faire le pied de grue. Patienter. Jouer les potiches. Tant de mots pour qualifier ce que nous étions présentement en train de faire, ma meilleure amie et moi, dans le Hall de l'école.

Bordel, mais qu'est-ce qu'il fout ? il pourrait être là à l'heure non ? Ce serait la moindre des choses.

Je croisai les bras sur ma poitrine tout en m'adossant au mur. Les yeux fixés sur les dalles de marbre, je me mis à réfléchir sur les possibilités qui s'ouvraient désormais à moi : Je pouvais me montrer civilisée et courtoise, effort bien qu'inhumain il m'était possible de faire preuve de politesses envers autrui, j'avais reçu un minimum d'éducation tout de même. Ou bien, direct cataloguer le morveu sans cervelle dans la case : à ne pas approcher, même pas adresser un seul regard. Ce qui me serait disons plus naturel. Je me mordis la lèvre inférieure, nerveuse. Ce rendez vous forcé me rendait plus anxieuse que ça ne le devrait. Je n'aimais pas ça. Je jetais un coup d'oeil furtif à Lyzz' qui, patiente comme personne, attendait, souriante.

Elle trouve le moyen de sourire en pareille situation elle... Pas possible. C'est quoi son secret ?

Je me remis à détailler le sol, retournant à mes réflexions. Je pouvais aussi faire un efort, non pas pour lui, mais pour ma meilleure amie. La seule qui ose encore m'approcher, même en conaissant mon caractère imbuvable. Je pouvais le faire, non ? Il le fallait bien, Lyzz' semblait désireuse de connaitre le Griffondor. Alors qui étais-je, moi, pour lui brider son plaisir ?

Personne.

CQFD, ma décision était prise. Pas forcément de plein gré, mais bon. La vie est faite de concession à ce qu'il paraît... Et comme si quelqu'un m'avait entendue, le garçon apparaut sous nos yeux quelque peu essouflé. Je le vis ouvrir la bouche - pour s'excuser sans nul doute - mais mon amie le coupa.

Pas maintenant. Viens, on y va.

Estomaquée, je réprimai une réplique plus qu'acerbe. Elle aurait pu au moins le laisser s'excuser pour son retard ! Ce serait peut être la moindre des politesses ! Quelque peu refroidie, je les suivis jusqu'à la calèche, montai à leur suite. Et fus à nouveau exaucée, puisque Lyzz' lui demanda des explications que le rouge et or s'empressa de donner - en bon petit toutou qu'il est. Roh, c'est méchant. Ah ?

Peu après que nous nous soyons quittés, j'ai rencontré quelqu'un dans un couloir. Tu le connais, il s'appelle Kobayashi Jun. Nous avons un peu discuté, puis Sakura, une fille de ma maison s'est jointe à nous, alors on a pas mal discuté, d'où mon retard...

Je vois, monsieur aime la parlotte et le blabla. Nous voilà donc avec... une différence fondamentale. Moi qui n'aime pas parler pour ne rien dire. Sauf peut être avec Lyzz', avec qui je peux parler de tout comme de rien...

Hé ben... Moi je dis, ça promet. Super idée franchement...

Je manquai de grimacer et me concentrai sur Jiro. Il semblait carrément fasciné par le moyen de locomotion que nous venions d'emprunter. Il regardait à droite à gauche, satisfaisant sa curiosité débordante. Il vint même se pencher à la fenêtre. Et je souris. Si il pensait voir quelque chose...

A moins que...

Tu ne les vois pas, n'est ce pas ? demandai-je doucement, suspicieuse.

Manquerait plus qu'il puisse ce bleu... Non mais, ce serait le pompom je crois !

-Peu aprés que nous nous soyons quittés, j'ai rencontré quelqu'un dans un couloirs. Tu le connais, il s'appel Kobayashi Jun. Nous avons un peu discutté, puis Sakura, une fille de ma maison c'est jointe à nous, alors on à pas mal discuté, d'où mon retard...

J'ouvris les yeux un peu surprise. Jiro connaissait Jun? ET il connaît ma soeur????

*Tiens, en parlant de lui, ça fait longtemps que je l'ai vue, j'aimerai bien un autre bonbon...Arrête, de sourire comme une abrutie toi!*se flagelle mentalement* La gourmandise, ezst sencé être un défaut je te rapelle... Hum bref...*

Un cahot fit revenir ma tête sur mes épaules et accessoirement, me remis les idées en place. J'observais Jiro qui tentait de voir quelque chose par la fenêtre. Ce fut Lala qui me devança en lui demandant plus ou moins sêchement:

Tu ne les vois pas, n'est ce pas ?

Je posais un regard perçant sur lui. Sa réponse était interessante, et je l'attendait avec ferveur. c'est vrai, qu'il ai vu la mort me parassait être une chose importante. Moi, ayant été tabassé, j'avais souvent approché la mort, mais ne l'ai jamais vu. Je ne les voyais donc pas, moi, les sombral. Et Lala, n'a jamais voulut me dire si elle les voyait ou pas....

Je jettais un regards vers les filles. Oups, elles semblaient avoir surpris ma curiosité. Oui, j'avoue je suis curieux, comme à peu prés la quasi totalité de ses bipèdes doté d'intelligence, que l'on appel communément "Homme".

Bon, une nouvelle chose qu'elles savent sur moi, je suis curieux, d'ailleurs, la question de Laïla me dérouta un peu. Bon, quelle réponse fournir. Dire que je voyait les créature qui ne se révélaient qu'a certaine condition. Ou dire que je ne les voyait pas. La réponse jaillit dans ma mémoire "sombral". Il me fallait cependant dire la vérité. Parce que j'ai appris un jour que l'amitié ne pouvait se contruire que sur la vérité:

-Non, comme tu t'en doutait, je ne vois pas les sombral. Et toi?