je vous la poste parce qu'apparemment y a des problèmes pour se connecter
voilà^^
Voici la réponse à un défi, j'espère que ça va vous plaire^^
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Drago, assis, un verre de Whisky dans ses mains, il fixait une jolie blonde, à son goût certes mais aussi apparemment très riche en jugé par le collier de diamant et de rubis qu’elle portait. Il but une gorgée de son whisky pur feu gardant un œil sur ce spécimen. La jeune femme semblait flattée, un sourire aux lèvres et des joues légèrement rougeâtres, elle lançait parfois de légers coups d’œil dans sa direction. Elle posa sa main gauche sur le rebord de la table, où trônait une magnifique alliance. Drago sourit amusé, elle mettait en évidence son statut de jeune femme mariée. Lui s’en foutait, oh, oui et royalement, il avait une envie et il fallait l’assouvir au plus vite.
Ce jeu de regard dura encore quelques minutes, puis Drago se leva et quitta la pièce. Il se dirigeait à l’étage sachant éperdument que la jeune femme allait le suivre. Et c’est ce qu’elle fit, elle l’interpella dès qu’ils furent seuls.
Jeune femme- Attendez ! Mr Malefoy !
Drago se retourna et lui sourit d’un air séducteur, il fit quelques pas vers elle puis s’arrêta.
Drago- j’adore votre bague ! Pièce de collection du XVIIIème siècle ! Un anneau d’or où un magnifique saphir bleu nuit central entouré de huit rubis. Le découpage est fin, et précis, la moulure de l’or est très spécifique, elle est sensé représenter l’ondulation si douce et tendre d’un tissu de velours plissé par le vent froid et dur d’un matin d’hiver.
Comtesse- observateur !
Drago- Madame, on ne loupe pas un spécimen de ce genre !
La jeune femme approcha doucement de Drago.
Comtesse- vous parlez de la bague ou de…moi !
Drago- ma chère, à côté de vous cette bague est vraiment désuète !
Il prit sa main et l’embrassa légèrement sous le léger rire de la jeune Comtesse.
Comtesse- hmm… séducteur !
Elle soupira s’éloignant légèrement.
Jeune femme- ça me change !
Drago- de votre mari ?
Comtesse- Mr Malefoy ! je suis venue pour passer un moment agréable et non pas pour parler de mon cher époux !
Drago sourit amusé gardant son air séducteur- vous avez raison !
Et sans plus attendre, ils s’embrassèrent fougueusement, ils libérèrent leur désir et leur passion. La Comtesse passa ses mains derrière la tête de Drago, celui-ci avait une main posée sur le sein de la jeune femme et l’autre dans ses cheveux. Ils se détachèrent pour mieux reprendre leur souffle. Drago sourit voyant l’effet qu’il avait sur cette jolie jeune mariée. Il relâcha son étreinte et alla ouvrit la porte de sa chambre. Il présenta sa main comme pour inviter sa proie à entrer, elle sourit et la prit, volontiers. Elle entra, Drago referma la porte à clé. Il sourit, passa ses mains sur ses épaules puis sur ses bras, prendre ses hanches, les coller à son bassin tout en embrassant son cou. Il mordilla très légèrement l’épaule de la jeune femme qui gémit de plaisir, elle fermait les yeux se laissant aller dans les bras de ce jeune intrépide homme d’affaire extrêmement riche et si puissant. Elle adorait ça, oh, oui… Drago releva la tête et passant une main dans le dos de sa future amante, il dégrafa la robe qu’elle portait la laissant tomber.
Drago- vous êtes magnifique ma chère Comtesse !
Comtesse- Terri ! je crois que les politesses au stade où nous sommes de servent plus à rien, n’est-ce pas ?
Drago- en effet !
Il sourit, la Comtesse se retourna, elle était en sous-vêtement. Elle détâcha ses cheveux sous le regard de Drago, puis retira son collier qu’elle déposa sur la commode et la bague.
Comtesse- elle est fascinante, n’est-ce pas ?
Drago- bien moins que toi !
Comtesse sourit et lui tendit, comme un gage de leur rencontre.
Comtesse- au moins une chose qui te fera te souvenir de moi !
Drago sourit et prit le bijou. Il le mit dans sa poche et regarda la jeune femme.
Drago- c’est une façon très agréable de me souvenir de toi ! maintenant laisse-toi faire ! et tu emporteras avec toi, un très plaisant souvenir de moi !
Il commença à retirer sa veste qu’il laissa tomber suivit par sa chemise. Il passa une main dans ses cheveux puis sur sa nuque et l’embrassa avec un désir immense. Il l’allongea sur le lit et s’allongea sur elle. Ils s’embrassèrent avec folie et passion, puis Drago descendit vers sa gorge, il s’approcha de sa poitrine et la prenant en bouche, il entrelaça ses doigts à la main de Terri. Il resta quelques minutes à toucher, goûter, embrasser cette poitrine qu’il trouvait très alléchante tout comme sa propriétaire. Il releva le visage et embrassa tendrement la Comtesse. Cette dernière en profita pour pousser doucement le jeune homme de faon à ce qu’il soit sur le dos. Elle posa sa main sur sa joue puis l’embrassa et mordilla sa lèvre assez fort pour qu’un filet de sang coule le long du menton, elle passa sa langue dessus et avala le sang dégoulinant puis suçota la lèvre blessée. Drago adorait ce qu’elle lui faisait, elle glissa sa langue dans le bouche du riche célibataire et joua avec. Elle finit par se détacher, et descendit vers son torse, elle l’embrassa de partout puis titilla son nombril avec sa langue. Drago la ramena vers lui, elle était à califourchon sur lui, il passa sa main sur ses fesses les caressant doucement pendant qu’elle retirait la boucle de son pantalon. Très vite Drago se trouva en boxer, il fit tout pour se débarrasser des deux bouts de tissus qui empêchaient leur union. Il la mit sur le dos, elle écarte les cuisses, l’accueillant volontiers, il sourit, puis l’embrassa et la prit au même moment. Elle gémit de plaisir, que c’était bon de le sentir en elle, si près, en toute intimité. Il sourit la voyant fermer les yeux et entrouvrir la bouche alors qu’il ne bougeait pas encore. Il posa ses mains sur ses hanches, elle croisa ses gens autour de la taille de Drago, pour ne pas le lâcher. Ce dernier se leva, elle dans ses bras, il la plaqua contre un mur. Il débuta ses mouvements ne lâchant pas une miette des expressions de la jeune femme qui semblait adorer ça, il continua, les gémissements augmentant, il gémit lui aussi, pendant de longues minutes, il lui fit l’amour comme jamais.
Comtesse- OOOH, Drago…AAAAH, DRAAGO !
Drago sourit en l’entendant hurler son nom alors qu’ils étaient tout proche de la jouissance, il la fit plus que hurler dans un dernier coup de rein où lui aussi atteint l’extase, il se vida, et fixa la Comtesse. Elle souriait, ouvrant les yeux et passant sa main dans les cheveux de Drago. Ce dernier retourna vers le lit et l’allongea, il posa sa tête sur la poitrine de Terri, et s’endormit.
Le lendemain matin, Drago se réveilla, il était seul dans sa chambre, il le savait bien, mais il découvrit un présent sur sa table de nuit, la fameuse bague qu’elle portait. Il sourit amusé, il se leva enfilant son peignoir et se dirigea vers une de ses valises. Il saisit la mallette, la déposant sur le lit, il l’ouvrit. Cette nuit là, il n’avait pas eu qu’un cadeau mais bien plus. Il fixa le magnifique collier de la Comtesse qu’elle portait la veille. Il lui avait dérobé sans même qu’elle ne s’en rende compte.
Drago- aah, les joies du métier !
Il sourit puis referma la mallette puis sortit sa baguette magnifique, il fit réduire la mallette et la mit dans la poche intérieur de sa veste. Il se doucha, se coiffa, se parfuma et s’habilla. Il était toujours aussi élégant. Il descendit dans le hall d’entrée et demanda à ce que ses valises soient envoyées chez lui.
Le soir même, après avoir quitté une réception ennuyante, il mit son plan à exécution, transplana en Suisse où il avait appris le départ imminent d’un bijou de grande valeur. Il s’introduit dans le bâtiment, plusieurs hommes armés gardaient un coffre. Drago sourit amusé, qu’il aimait faire ça. Il mit une cagoule, et avança dans les couloirs, là où les caméras se trouvaient, il les désactiva d’un coup de baguette puis grâce à un sort qu’il avait que récemment appris, il fit apparaître une dizaine copie de lui, mais ce n’était que sa réflexion astrale. Les gardes commencèrent à ouvrir le feu, les copies se stoppèrent attendant.
Garde 1- mais, comment… ils sont vivants !
Garde 2- à l’assaut !
Ils coururent en direction des dix individus mais ils disparurent. Les hommes regardaient autour d’eux.
Garde 1- c’est impossible ! je suis fous !
Drago- oh… mon pauvre vieux !
Il le stupéfixia tout comme les autres puis se tourna derrière le coffre.
Drago- à nous deux !
Il posa ses mains sur la porte blindée. Il sourit puis fit apparaître, un flacon aux contenus rougeâtre. Il s’éloigna et balança le flacon contre la porte qui se dissolue à une vitesse folle. Il entra dans le coffre et saisit la seule boîte qui trônait dans la salle. Il l’ouvrit et sourit en voyant le magnifique bijou. Il tourna dans la salle, posant tout les sacs d’argents et de diamants sur la table. Il lança à sort complet : toutes les objets furent introduits dans un gros sac qui à son tour fut réduit pour pourvoir ce glisser dans la poche de Drago. Ce dernier s’en alla.
Drago- c’est un plaisir de faire affaire avec vous, messieurs !
Il sourit puis transplana.
Drago- que la vie est bonne quand elle est remplie de tous ces butins !
Il entra dans une salle de son manoir, descendit aux cachots. Il ouvrit une des cellules, s’approcha du mur de gauche et toucha une série de pierres. Le mur disparut et une dizaine de barrière magique se présenta. Drago les arrêtèrent grâce à une formule magique, il s’approcha de l’immense porte blindée avec des motifs de Dragon, il appuya sur les yeux du Dragon de droite, les deux Dragons ouvrirent leur gueule qui se détachait de la porte. Drago enfila sa main dedans et prit une clé en diamant, enfin qu’une partie. En effet, il avait toujours l’autre sur lui. Il ouvrit les premiers boutons de sa chemise et sortit sa chaîne, il la détacha et enfila le morceau dans l’autre. Il l’enfonça cette fois dans la gueule du dragon de gauche. On entendit le bruit d’un mécanisme, et doucement la porte s’ouvrit. Drago entra, et elle se referma derrière lui. Il sourit puis sortit de sa poche intérieur le sac. Il lança plusieurs sorts et à la fin tout son butin était rangé. Il s’approcha d’un socle en verre. Il ouvrit le couvercle de la boîte en verre bleuté et déposa avec précaution le fameux bijou suisse. Il sourit satisfait et quitta les lieux, et s’assura de la protection de son installation.
Qu’il était fier de sa magnifique forteresse où son trésor reposait, oui, il adorait ça, voler, dérober, sans que personne le sache. C’était un piquant dans sa vie, un piquant qu’il avait besoin pour vivre, comme une drogue, il avait besoin de sa montée d’adrénaline et sa jouissance quand il arrivait à ses fins.
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Alors qu'est-ce que vous en pensez?
Sujet: Une vie de jouissance 
Mar 26 Déc - 4:31
